- OGF n° 1 du funéraire.
- OGF n° 1 des tarifs exorbitants.
- OGF n° 1 de la maltraitance salariale.
Le n° 1 du funéraire serait bien inspiré de suivre l’exemple du n° 2 (Funécap) qui, lui, accorde une prime de 1 000 euros à ses salariés.
Nous avions demandé à la Direction l’application de la prérogative Macron qui donnait la possibilité aux entreprises de verser une prime défiscalisée. Il nous a bien été confirmé qu’on pouvait se brosser.
Dès que l’on parle pognon, la Direction d’OGF nous envoie balader. Dès que l’on parle conditions de travail, amélioration des rémunérations, notre patron fait la sourde oreille. Il ne communique que sur ce qui l’intéresse.
Profitons de la journée d’actions de la CGT du 5 février 2019 pour dire « STOP ».
Fermons nos usines et nos magasins, annulons nos convois, que les fleuristes arrêtent leurs compositions florales, que les salariés du siège restent dans la rue, ne posons pas de monuments, arrêtons de creuser des trous.
On peut le faire, nous devons le faire, faisons-le.
LE 5 FÉVRIER, JOURNÉE SANS CONVOI, SANS FAMILLE, SANS CERCUEIL, SANS MARBRERIE, SANS FLEUR NI COURONNE.
- Notre direction n’entend pas notre détresse.
- Montrons-lui notre détermination.
- Pas de victoire sans lutte.